Confrontés à un licenciement économique, de nombreux salariés se demandent comment préserver leurs revenus pendant la période de transition vers un nouvel emploi. Entre indemnités légales, CSP et obligations de l’employeur, le maintien de salaire pendant un an nécessite de maîtriser un ensemble de règles complexes. Cet article démêle les conditions d’éligibilité, la procédure à suivre et les solutions digitales innovantes, en s’appuyant sur l’évolution du marché des CSE et les retours d’expérience de professionnels.
L’article en bref
Face à un licenciement économique, des dispositifs comme le CSP, l’ARE et les outils numériques CSE offrent des solutions concrètes pour maintenir les revenus pendant un an et réussir sa transition professionnelle.
- Dispositifs renforcés de maintien de revenu : CSP, ARE et indemnités encadrent la période post-licenciement
- Choix stratégique selon le profil : Analyse personnalisée entre accompagnement CSP et souplesse ARE
- Rôle actif du CSE dans la transition : Soutien via subventions, billetterie, outils de suivi et PSE
- Digitalisation au service des droits : Plateformes modernes pour fluidifier l’accès aux aides et à l’information
Bien informé, bien accompagné et bien outillé, le salarié peut traverser cette phase avec plus de sérénité et de perspectives.
Contexte et enjeux du maintien de salaire après licenciement économique
Le licenciement économique trouve son origine dans des motifs indépendants du salarié : difficultés financières, réorganisation ou mutations technologiques. En 2025, la conjoncture macroéconomique reste marquée par l’incertitude liée à l’inflation et aux tensions géopolitiques, poussant certaines entreprises à réduire leurs effectifs pour préserver leur compétitivité.
Plusieurs dispositions légales visent à protéger le salarié durant cette période délicate :
- Indemnité légale de licenciement : calculée sur la moyenne des 12 derniers mois de rémunération (détails sur le calcul).
- Indemnité compensatrice de préavis : versée si le préavis n’est pas effectué.
- Contrat de Sécurisation Professionnelle (CSP) : offre une allocation jusqu’à 75 % du salaire brut pendant 12 mois (voir conditions).
La mobilisation de ces dispositifs influence directement la stabilité financière et mentale des salariés. D’après un cas client anonyme, une entreprise du secteur numérique a anticipé un plan de sauvegarde grâce à l’outil UpKonnectCSE, plateforme de gestion des subventions et de communication CSE, permettant de limiter l’impact social.
Insight clé : comprendre les motifs économiques et analyser les indicateurs (PER, EBITDA) est la première étape pour optimiser vos droits.

Dispositifs de maintien de salaire et conditions d’éligibilité
Critères indispensables
Pour bénéficier d’un maintien de salaire pendant un an, le salarié doit remplir plusieurs conditions :
- Contrat à durée indéterminée (CDI) en cours au moment du licenciement.
- Ancienneté minimale de 12 mois dans l’entreprise.
- Inscription rapide au CSP ou choix de l’ARE classique.
Le calcul de référence prend en compte l’ensemble des éléments de rémunération des 12 derniers mois : salaire de base, primes et avantages en nature. Cette base sert ensuite au calcul de l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP).
Comparaison CSP vs ARE
- CSP : 75 % du salaire brut pendant 12 mois, accompagnement personnalisé, accès à des formations certifiantes.
- ARE : 57 à 75 % du salaire brut, durée d’indemnisation variable (24 à 36 mois), moins d’accompagnement intensif.
Le choix dépend du projet professionnel et du degré d’accompagnement souhaité. Un salarié envisageant une reconversion rapide privilégiera le CSP, tandis qu’un profil déjà formé optera pour l’ARE.
Exemple concret : Madeline, assistante marketing, a choisi le CSP pour profiter du soutien de Pôle emploi et des modules de formation disponibles sur la plateforme UpExpert, renforçant ses compétences en data analytics.
Insight clé : la décision entre CSP et ARE doit s’appuyer sur une analyse lucide de votre parcours et de vos objectifs.
Procédure légale et rôle du CSE dans le maintien de salaire
Le licenciement économique est strictement encadré par le Code du travail. L’employeur doit :
- Motiver le projet de licenciement par des données financières (chiffres d’affaires, pertes).
- Consulter le CSE afin d’examiner les mesures de reclassement et de formation.
- Convocation à un entretien préalable, avec un délai minimal de 5 jours ouvrables.
- Notification du licenciement avec mention des droits, dont le maintien de salaire et la priorité de réembauche.
Le CSE intervient comme garant du respect des droits. Il peut proposer :
- Un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).
- Des offres de billetterie en ligne et de réductions pour limiter l’impact social.
- L’accès à un logiciel de gestion permettant le suivi des dossiers, comme UpBilletterie couplé à UpC’kdo.
Grâce à une interface utilisateur moderne, les élus du CSE pilotent le circuit de subvention et optimisent les subventions pour financer des activités de loisirs et culture.
Insight clé : une communication CSE structurée et des outils numériques adaptés réduisent considérablement les délais de décision.
Options d’accompagnement post-licenciement et impact sur la transition
Au-delà du maintien de salaire, plusieurs dispositifs favorisent la réinsertion :
- Ateliers de formation financés par le PSE ou les aides régionales (voir aides régionales).
- Coaching individuel pour affiner le projet professionnel.
- Billetterie et sorties culturelles à tarifs préférentiels pour maintenir le lien social.
Les solutions innovantes, telles que l’application mobile CSE et le site internet CSE, favorisent l’accès à un ensemble d’offres modulables : loisirs, culture, activités sportives. La coopérative Up développe des partenariats futurs avec des acteurs locaux afin d’améliorer le pouvoir d’achat des bénéficiaires.
Points de vigilance
Certains pièges méritent attention :
- Omission de la prime de précarité si l’ancienneté de droit n’est pas respectée (cas d’absences injustifiées).
- Délais de traitement des subventions trop longs sans suivi rigoureux.
- Non-respect des obligations de reclassement interne.
Insight clé : un projet collaboratif entre l’employeur, le CSE et les organismes externes accélère la reprise d’activité et sécurise la transition.
Modernisation des solutions CSE pour un accompagnement optimal
L’évolution du marché des CSE en 2025 met l’accent sur l’intégration des services et la modernisation des solutions.
- Interface unifiée : tableau de bord regroupant comptes en ligne, billetterie et gestion des subventions.
- API ouvertes : pour connecter Kalidea, UpBilletterie et d’autres services personnalisés.
- Soutien juridique intégré, facilitant la compréhension des droits (victorieux pour éviter les erreurs fréquentes).
Les témoignages clients soulignent l’efficacité de plateformes modulables comme UpExpert et UpKonnectCSE, capables de réduire le temps de traitement des dossiers et d’améliorer la qualité de la communication CSE via des techniques de communication numérique.
Responsabilité sociale et partenariats futurs viennent enrichir ces solutions innovantes, offrant aux salariés en transition un environnement sécurisé, clair et durable.
Insight clé : la digitalisation intelligente des outils CSE contribue à une meilleure gestion de crise et à l’autonomisation des salariés.
FAQ – Vos questions sur le maintien de salaire en cas de licenciement économique
Q1 : Qui peut bénéficier du Contrat de Sécurisation Professionnelle ?
R : Tout salarié en CDI ayant au moins 12 mois d’ancienneté, licencié pour motif économique et inscrit dans le délai imparti au CSP.
Q2 : Quel est le taux de l’allocation ASP ?
R : L’allocation de sécurisation professionnelle représente 75 % du salaire brut journalier de référence, versée pendant 12 mois.
Q3 : Le CSE peut-il financer des activités de loisirs ?
R : Oui, grâce à la gestion des subventions et une billetterie en ligne, le CSE propose des sorties culture et réduction sur des offres variées.
Q4 : Quels sont les délais de recours en cas de non-respect de la procédure ?
R : Le salarié dispose de 12 mois pour contester un licenciement économique devant le conseil de prud’hommes.
Q5 : Comment optimiser le traitement des subventions CSE ?
R : En utilisant un logiciel de gestion avec API ouverte, tableau de bord et application mobile pour suivre chaque étape du circuit de subvention.








